lundi 31 mars 2014

Observer les "Reste à charge"

L'Observatoire citoyen des "Restes à charge" en santé a été créé en mai 2013 par le Collectif Interassociatif Sur la Santé (CISS), le magazine 60 Millions de consommateurs et la société Santéclair. Plusieurs enseignements, d'emblée :
  • Des disparités géographiques très importantes : 
Exemple  : Lorsqu’un assuré consulte un médecin spécialiste, secteurs 1 et 2 confondus, son reste à charge moyen est de 15,90 €, mais il est de 8,20 € par acte en Moselle pour 37,70 € à Paris !

  •  Des disparités sectorielles très importantes aussi, notamment pour tous les soins très mal remboursés par la Sécurité sociale comme l'optique et le dentaire.
Observatoire à garder en ligne de mire...

Tarifs dentaires : dérapages et restes à charge pénalisent les patients

Le magazine "60 millions de consommateurs" commente dans son article de décembre 2013 "Les dentistes plombent le budget des ménages" une étude du CISS sur les tarifs dentaires en France.
Lire un commentaire ici par la CPAM
  • Des restes à charge élevés :
    •  La pose d’une couronne céramo-métallique, en moyenne, coûte 550 €, or, l’Assurance maladie ne prend en charge que 75,25 €,
    • 650 euros par semestre de traitement d’orthodontie en moyenne (et jusqu’à 1.000 euros à Paris) remboursés moins de 200 euros par l’Assurance maladie.
    • --> De nombreux Français renoncent à faire soigner leurs dents 
  • Des pratiques douteuses :
    • Des dépassements d’honoraires sont appliqués sur des soins conservateurs (traitement de base des caries, dévitalisations, détartrage, etc.) et des extractions, alors que ces actes sont à « tarifs opposables » et en tant que tels ne devraient donc pas faire l’objet de dépassements, sauf situation exceptionnelle,
    • Des techniques nouvelles sont retenues alors que des techniques anciennes et nettement moins coûteuses rendent le même service. Exemple avec l’« inlay-core », un procédé intervenant dans la pose de couronne. Il serait utilisé dans 8 cas sur 10, alors qu’une reconstitution classique serait tout aussi efficace. L’inlay-core couterait entre 150 et 300 euros au patient sans être forcément pris en charge par l’assurance maladie et les complémentaires santé, contre 80 euros pris en charge à 70 % par l’assurance maladie pour une reconstitution classique. 
Il faut lire cette étude !

vendredi 28 mars 2014

Analphabètes financiers : pas que les Français !

Il est traditionnel dans les réunions de banquiers/assureurs de déplorer le piètre niveau des Français en général et des épargnants en particulier, inaptes à hiérarchiser les classes d'actifs et à percevoir les atouts des investissements en actions, bêtes qu'ils sont à se précipiter comme un seul homme sur le placement monétaire pour leur épargne salariale et sur le fonds général à taux garanti pour leur épargne retraite.

Et bien voilà une étude de l'EFAMA qui s'alarme de l'analphabétisme des Européens : 1 Européen sur 2 ne maitriserait pas les concepts financiers de base. Il faudrait lire le détail pour vérifier que les malheureux Français ne sont pas surreprésentés dans les analphabètes financiers.

jeudi 27 mars 2014

Nouvelles références pour les fonds d'épargne salariale

Depuis la transposition en droit français d'une directive européenne dite AIFM le 27 juillet 2013, la façon de dénommer les fonds d'épargne salariale en faisant référence à des articles du Code monétaire et Financier est modifiée :
  • Les anciens FCPE L214-39 deviennent les FCPE L214-164
    • pour mémoire, ce sont les FCPE diversifiés et investis à moins d'1/3 en titres de l'entreprise,
  • Les anciens FCPE L214-40 deviennent les FCPE L214-165
    • pour mémoire, ce sont les FCPE d'actionnariat salarié investis à plus d'1/3 en titres de l'entreprise.
 Par ailleurs, désormais, les FCPE se sont plus classés dans la catégorie des OPCVM - organismes de placement collectif en valeurs mobilières. Ils relèvent maintenant de la catégorie "fourre-tout" des FIA, fonds d'investissements alternatifs, qui regroupe tous les types de fonds à l'exception des OPCVM. A noter, le dispositif de la SICAVAS (Sicav d'actionnariat salarié), qui n'a été utilisé que par EIFFAGE, appartient désormais comme les FCPE à la catégorie des FIA.
Il faudra suivre les implications règlementaires de cette catégorie sur l'épargne salariale.
Voir d'autres détails dans la note de Natixis

Statistiques de l'épargne salariale

La DARES (ministère du travail) a publié en novembre 2013 les statistiques de l'épargne salariale de l'année 2011 :
  • Près de 9 millions de salariés du secteur marchand ont accès à au moins un dispositif d'épargne salariale (= participation, intéressement, PEE ou PERCO),
  • Le montant global distribué en 2011 au titre de ces 4 dispositifs s'est élevé à 15.5 milliards €, en baisse de 4 % par rapport à 2010,
  • 3.8 millions de salariés détiennent des avoirs dans un PEE, et parmi eux, 0.8 détiennent des avoirs sur un PERCO
  • Ces dispositifs concernent très majoritairement les grandes entreprises :
    • Dans les entreprises de plus de 500 salariés, 94 % des salariés sont couverts par au moins un des 4 dispositifs, mais seulement 17% dans les entreprises de moins de 50 salariés,
    • et sont donc très concentrés sur quelques secteurs d'activité - énergie, activités financières et assurance - formés de très grandes entreprises
  • Une prime moyenne perçue s'élève à près de 2300€, mais 35% des salariés couverts par au moins un dispositif ont bénéficié à la fois d'intéressement et de participation pour un montant moyen de plus de 3000€.
  • Le flux de participation total de 6.6 milliards €, net de csg/crds, s'est orienté à hauteur de 1 MM€ sur les comptes courants bloqués, 0.5 MM€ sur des placements fcpe / actions de l'entreprise hors PEE, 2.6 MM€ sur le PEE ou le PERCO et 2.3 MM€ a été versé directement aux salariés.
  • Le flux d'intéressement total de 6.1 milliards €, net de csg/crds, dont 1.5 MM€ net de csg/crds a été épargné sur un PEE ou un PERCO, soit un taux d'épargne de 25% (en forte baisse).

mercredi 26 mars 2014

Quel intéressement pour un salarié détaché à l'étranger ?

La justice devrait trancher le cas soulevé par quatre ex salariés de la BNP détachés à l'étranger et qui estiment avoir été lésés en ne percevant pas les primes d'intéressement et de participation déterminés en France. Lire l'article du Figaro

Un réseau de soins pour rendre responsable son contrat Santé collective ?

C'est le souhait du délégué du CTIP, association des Institutions de prévoyance. Vous pouvez écouter son interview ici. Vous entendrez aussi quelques résultats d'une enquête du CREDOC : les salariés ne sont très mal informés de l'existence d'un réseau de soins dans leur entreprise. Pourtant, c'est un bon moyen de maîtriser les dépenses de santé et pérenniser le régime en place dans l'entreprise.

Bourrasques dans les couvertures Santé collective

Hier, lors d'une conférence, il est apparu que la plupart des RH présents, très rares étaient ceux avertis des modifications importantes apportées à la définition des contrats de santé collective responsables. Voir notre article du 20 février dernier.  Il semblerait que l'administration s'apprête à publier un décret très déstabilisant sans que les intéressés au premier chef se soient penchés sur ses conséquences dans l'entreprise. Inquiétant.

Pépettes

Lue dans un forum britannique dédié aux fonds de pension, la question suivante : "In the last 2 years on a medium/low risk investment what % return would expect to see on your pension ? " Réponse du promoteur : "This isn't the sort of information we are able to provide.  We have no anecdotal data on the performance of any type of investment. You could approach a financial adviser who may be able to do some research for you, for a fee."

Hé oui, au Royaume Uni, on sait parler honoraires.

mardi 25 mars 2014

Placement financier : épisode numéro 2

Lu ce week-end dans les pages Placements d'un hebdomadaire : "Oser le dynamisme en toute sécurité". Ce titre a immédiatement éveillé ma curiosité. Quel produit financier pouvait se cacher derrière cette annonce attractive. Il s'agissait en fait du PEL, le bien connu Plan Epargne Logement. Je m'interrroge encore sur le sens du mot "dynamisme" pour certains...et je m'insurge encore une fois contre l'utilisation du couple "dynamisme-sécurité" pour vanter les placements financiers. 

jeudi 20 mars 2014

Les professionnels de l'optique demandent une baisse de la TVA sur leurs produits

Dans une pleine page de pub actuellement dans la presse, intitulée "Vous n'en croirez pas vos yeux", le GIFO, groupement des industriels et fabricants de l'optique, rappelle, via un jeu de questions/réponses déroutant, l'importance des produits d'optique pour des millions de Français et la menace qui pèse sur leur pouvoir d'achat du fait de la réduction envisagée du remboursement de l'optique par les assurances complémentaires de santé et les mutuelles. Il est vrai que le business de ses adhérents en serait déstabilisé.

Pour mémoire, la baisse de remboursement de l'optique notamment s'inscrit dans la foulée de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2014 qui a modifié les caractéristiques des contrats responsables ; un décret est attendu qui doit préciser ses nouvelles caractéristiques. Rappelons que les primes versées dans le cadre d'un contrat responsable sont assujetties à une taxe qui est limitée à 7% de leur montant, contre 14% pour celles versées à des contrats non responsables. L'enjeu financier est non négligeable à la fois pour les employeurs et pour leurs salariés.

Les marges en optique sont très élevées, et justifient les actions des réseaux de soins tels que SantéClair ou Kalivia - pour ne citer que les deux plus importants - qui obtiennent facilement des réductions du prix des verres correcteurs allant jusqu'à 40%.  Le GIFO en appelle pourtant carrément à une baisse de la TVA de 20% sur leurs produits, afin de préserver le pouvoir d'achat des Français menacé par les moindres remboursements des mutuelles.
Nous suivons cet intéressant débat.

PS : le GIFO exerce aussi l'inévitable chantage à l'emploi avec la mise en péril de 10 500 emplois disséminés sur 77 sites en France.

L'effet de l'intéressement collectif sur l'évolution des salaires

Une étude datant de 2013 inonde les alertes Google en ce moment : celle de deux chercheurs du CEE (centre de recherche pour l'emploi). Leur étude tend à montrer que l'intéressement collectif, lorsqu'il existe, engendre de moindres hausses de salaire, et par là, réduisent les rentrées de cotisations sociales qui financent la protection sociale en France. Le forfait social, désormais parvenu à 20% qui est appliqué sur les primes d'intéressement, a quasiment réduit de moitié l'économie de cotisations patronales. Peut-on encore parler de l'intéressement, comme "rente fiscale" et niche sociale à supprimer ? Les auteurs veulent relancer le débat.
Par ailleurs, les dispositifs de réduction de charges sociales sur les bas salaires s'empilent : notamment Réductions Fillon pour les salaires inférieurs à 1.6 SMIC, CICE, pour les salaires inférieurs à 2.5 SMIC. De fait, les entreprises employant majoritairement ces catégories de salariés tendent à se détourner de l'intéressement collectif. Est-ce une bonne chose ? Ne faudrait-il pas élargir le débat sur le financement de la protection sociale ? Est-ce légitime de tirer partie de l'intéressement collectif, notamment lorsqu'on emploie des salariés à haut niveau de qualification et donc à haut niveau de salaire ?
En tout état de cause, les employeurs ont intérêt à étudier les atouts de l'intéressement collectif pour piloter au mieux leur entreprise et rester performants dans un contexte économique toujours plus incertain et compliqué. Nous sommes là pour accompagner les employeurs au sujet de leur intéressment.


Publicité mensongère ? N'exagerons pas, mais tout de même ...

Un journaliste du Revenu publie un long papier vantant les atouts de l'épargne salariale. Il rappelle l'ampleur de l'épargne salariale : "l’encours représente quelque 94 milliards d’euros, sans oublier les 8 milliards des plans d’épar­gne retraite collectifs (Perco)". Il y a juste une erreur de 8 milliards, car l'encours du Perco est inclus dans les 94 milliards (voir les statistiques publiées par l'AFG ici). Vous me direz, 8 milliards en plus ou en moins, quelle importance ? Certes.

Par là, on peut aussi se demander d'où vient ce chiffre de 94 MM€. Les dernières statistiques publiées par l'AFG font état d'un peu plus de 98 MM€, au 30 juin 2013. Ne chipotons pas. Question chiffres globaux, ce qui nous paraît important, en revanche, c'est rapporter l'encours global de l'épargne salariale au montant de l'épargne financière des ménages quelques 4260 milliards € fin juin 2013 (source Banque de France) et notamment à l'assurance-vie, quelques 1465 milliards € fin 2013 (source FFSA).

L'article regorge par ailleurs de promotion pour des fonds et des modes de gestion qui peuvent être aisément critiqués. Très drôle : sur le Revenu.fr, cet article apparaît juste avant un article au titre efficace "Attention aux publicités mensongères" qui rapporte une étude de l'AMF sur le sujet. Nous avons par exemple beaucoup à dire contre les fonds à capital protégé vantés. Le journaliste se laisse aussi entraîner sur la délicate question des frais de gestion : les frais de gestion en épargne salariale seraient plus faibles qu'en gestion individuelle. Peut-être, mais ne vaut-il pas mieux éduquer le lecteur en lui parlant de performance nette de frais ? (voir le simulateur de l'AMF, bizarrement dénommé "Comprendre le rendement vrai d'un placement", ce qui n'enlève rien à sa valeur pédagogique.). Nous ne détaillerons pas ici nos positions sur les fonds abordés : si elles vous intéressent, venez donc assister à l'une de nos formations sur le sujet, nous vous expliquerons tout ce que nous pensons. A bientôt !

mercredi 19 mars 2014

Quelles vertus attribuer à l'abondement versé par l'employeur sur un plan d'épargne ?

Pour certains, l'abondement est un moteur de la performance financière : 
  • " L’abondement relève sensiblement le rendement de l’effort individuel d’épargne lorsqu’il est constitué en entreprise."
  •  " La contribution financière de votre employeur augmente votre potentiel de gain."
 Pour d'autres, c'est une assurance contre le risque :

  • "Cependant,  il  convient  également de rappeler que grâce aux mesures d’abondement  négociées  avec  la Direction, le syndicat a contribué à limiter le risque du salarié."
  • «  Le Conseil de Surveillance a donc voté la transformation d'du FCPE en un FCP structuré qui garantit 90% du capital souscrit, ce qui présente un risque financier nul pour le souscripteur jusqu'en 2012 grâce à l'abondement du PEG.» 

Pour nous, l’abondement est un complément d’épargne. Il vient augmenter le capital initial placé par le salarié mais il n'influe en rien sur la performance qui est de la responsabilité du gestionnaire financier ou sur le risque du placement financier réalisé par le salarié.

Et vous, qu'en pensez-vous ?


mardi 18 mars 2014

Connaissez-vous le BAAG ?

Le BAAG est le cousin américain de notre bon vieux BSI. Ah, pardon, vous ne connaissez pas le BSI ? C'est le Bilan Social Individuel, qui dresse un panorama de tous les avantages salariaux et périphériques au salaire auquel a droit un salarié. Le BAAG n'est autre que le "Benefits At A Glance".

Bénéficiez-vous d'un BAAG ? c'est pour un sondage....

Le PEA PME et le financement des PME et ETI

Dans cet intéressant argumentaire publié par l'Agefi, l'auteur montre que le PEA PME ne résoudra pas la question du financement des PME et de ETI pour plusieurs raisons techniques et psychologiques. En revanche, ce nouveau dispositif constitue un espace supplémentaire de défiscalisation pour les personnes à haut patrimoine ayant saturé le PEA classique. Objectif raté et effet secondaire non désiré !

jeudi 13 mars 2014

Placements financiers : le rendement sans risque est-il possible ?

Pour les produits d'épargne, plus le rendement escompté est élevé, plus notre rêve d'enrichissement devient fort et plus la tentation d'y souscrire est grande. Les arnaqueurs n'hésitent pas à faire miroiter un rendement annuel de 20%.
Des milliers de français qui avaient choisi d'investir en 2010 sur des placements au rendement très alléchant ont découvert brutalement que le Père Noël des placements financiers n'existait pas.
Il n'y a pas de rendement sans risque, cette union Rendement-Risque est extrêmenent durable, même si par moment elle peut être fragilisée.

L'Autorité des Marchés Financiers publie régulièrement des mises en garde, vous pouvez consulter leur site avant de choisir votre placement et vérifier la légalité de votre intermédiaire financier.

mercredi 12 mars 2014

Les commissions mutuelles des entreprises peuvent s'intéresser de plus près aux médicaments génériques

 Les commissions mutuelles sont à la recherche d'idées pour améliorer les comptes des régimes frais de santé de leur entreprise. Au-delà de l'optique et du dentaire, dépenses souvent regardées de près, elles peuvent s'intéresser aux médicaments génériques.

L'émission Enquête de Santé sur France 5 le mardi 4 mars annonçait qu'en France, les médicaments génériques ne représentaient que 25% des médicaments remboursés contre 75% en Allemagne ou en Grande-Bretagne. Les génériques coûtant moins, nous devrions pourtant tous, en tant que patient, nous précipiter pour augmenter leur part dans notre consommation de médicaments (à défaut de diminuer notre consommation). Mais nous ne le faisons pas. Pourquoi ? Au cours de l'émission, nous avons compris qu'il n'y avait pas d'arguments scientifiques à notre refus des génériques (ils ont le même effet thérapeutique), il existe cependant des freins à leur utilisation, des freins psychologiques des patients, éventuellement véhiculés par certains médecins, des freins d'ordre pratiques (comprimé impossible à couper, confusion entre comprimés ...) ...qui pourraient être levés. Les campagnes institutionnelles du ministère de la Santé n'ont eu que peu d'effet, la surveillance accrue des Caisses Primaires d'assurance Maladie ne peut pas tout, mais nous pouvons suivre l'invitation lancée par le Professeur Sylvie Legrain, gériatre, médecin de santé publique, à la fin de l'émission : dépassons nos intérêts personnels de médecin, de pharmacien, de patient, de salarié de l'industrie pharmaceutique...., et asseyons-nous à la même table pour trouver des solutions.

Les commissions mutuelles des entreprises peuvent favoriser une utilisation plus grande de ces médicaments génériques en informant les salariés sur leur usage.

Effets de la récession économique sur le niveau de participation

Chez Auchan, les salariés enregistrent une baisse de leur prime de participation lire

lundi 10 mars 2014

Définition du contrat santé responsable : les acteurs du marché sont divisés

Un décret est en préparation pour définir les nouvelles caractéristiques des contrats santé responsables, qui donnent lieu à une moindre taxe. Dans le lobbying intense mené actuellement par les différentes familles d'acteurs sur le marché, des divergences profondes apparaissent. Assureurs mutualistes et institutions de prévoyance, notamment, viennent de pointer leurs différences. lire l'article de Newsassurances.

vendredi 7 mars 2014

Intéressement des salariés : EKLO, un très beau client de Karente

EKLO est une nouvelle chaîne hôtelière au concept novateur alliant l'écologie et le low-cost. Nous sommes très fiers d'avoir accompagné le jeune dirigeant Emmanuel Petit pour définir une formule d'intéressement de ses salariés à la performance de leur entreprise. Lire une de ses interview